Découverte manga : Baltzar – La guerre dans le sang

Comme dernière lecture de la première boîte mystère que j’ai reçue d’Anipassion-J, j’ai pu découvrir les deux premiers volumes du manga Baltzar – La guerre dans le sang. Je n’avais que très rarement visionné ou lu une série concernant la guerre du 19e siècle. Même si je ne m’y connaissais pas énormément en armes et en guerre, j’étais plutôt captivée par cette lecture qui s’offrait à moi. D’ailleurs, dans cet article, je vais vous donner mon avis sur ce manga historique.

Baltzar – La guerre dans le sang

  • Titre original : Gunka no Baltzar
  • Dessin : Nakajima Michitsune
  • Scénario : Nakajima Michitsune
  • Éditeur VF : Meian
  • Année : 2011 au Japon / 2019 en France
  • Type : Seinen
  • Genre : Action, Historique
  • Nombre de tome : 12 (en cours)
Baltazar
Voici la couverture du manga : Baltzar – La guerre dans le sang de Nakajima Michitsune

Synopsis

Le 19e siècle : l’ère des impérialistes.

Le commandant Baltzar est envoyé par l’Empire dans une école militaire du Baselland, un pays allié. Sa mission est de mener la réforme du système militaire de ce pays afin de combler leur retard flagrant. Mais il se retrouve un peu perdu face à des instructeurs et des élèves qui se sont depuis longtemps habitué à la paix. Dans cette période de transition entre la paix et la guerre, ils vont devoir affronter leur destin.

Critique

Dans le manga Baltzar, on découvre la guerre sous différents angles. Premièrement, le pays natal de notre protagoniste où la guerre est un quotidien pour les civils ainsi que les soldats. Ils sont préparés. Comme il est souvent dit dans le manga : la paix n’est qu’un répit servant à préparer la prochaine guerre. Sur le qui-vive, ils sont toujours prêts à partir sur le champ de bataille. Qu’il s’agisse de leur équipement ou de leur manière d’être, ils sont préparés. C’est l’inverse dans le Baselland, un pays allié où notre héros est envoyé afin de devenir instituteur. Rapidement, il se rendra compte que les étudiants ne sont pas équipés de façon optimale.

Sa mission ? Mener la réforme du système militaire afin de combler leur retard flagrant. Néanmoins, cela ne sera pas de tout repos ! Les professeurs, mais aussi les élèves, qui sont depuis longtemps habitués à la paix, n’ont aucune idée de ce qu’est un champ de bataille ! Pour couronner le tout, les civils sont contre toute activité militaire… Malgré tous ces inconvénients, Baltzar devra user de ruse et de patience afin d’apprendre aux élèves, aux professeurs, mais aussi, à tous les habitants du Baselland ce qu’est la guerre.

J’ai trouvé le personnage de Baltzar intéressant. Habitué à la guerre, il se retrouvait du jour au lendemain dans un endroit où la paix avait toujours régné. Il se retrouve rapidement confronté à de nombreux obstacles. Les gens ne veulent pas forcément que l’Empire prenne le contrôle de leur façon de vivre, au quotidien. En apportant ainsi l’enseignement de la guerre aux jeunes étudiant de l’école militaire du Baselland, les habitants ont peur que cela n’amène que la guerre, justement. Ainsi, ils se révoltent rapidement face au pauvre Baltzar qui ne souhaite que remplir sa mission tout en éduquant convenablement ses nouveaux étudiants.

On y découvre d’ailleurs une monarchie dégoûtante qui ne jure que par le pouvoir. Je ne m’y connais pas forcément en guerre. Et encore moins en l’histoire de ces années-là, mais le manga était bien. J’ai dévoré les deux tomes que j’avais en possession. Je n’y connais, d’ailleurs, pas grand chose en ce qui concerne les armes, non plus, mais je pense avoir appris quelques notions intéressantes en découvrant ce titre ! L’art était sublime, je n’ai rien à redire.

« La paix n’est qu’un répit servant à préparer la prochaine guerre. »

En conclusion

Même si j’ai dévoré les deux premiers tomes, je dirais qu’il ne s’agit pas forcément de mon style favori. Pour cette raison, je n’ai pas été charmée par le manga. Cela ne veut pas dire qu’il est mauvais, au contraire ! Je pense que Baltzar est un titre adapté aux amateurs de la guerre et des armes de l’époque, ainsi que des stratégies militaires.

D’autres titres similaires qui pourraient vous plaire…

Sakura Wars ayant aussi la thématique militaire.
Vallhallian the Black Iron en raison de la thématique de la guerre.
Le pays des cerisiers pour son côté historique.

J’aime

  • L’enseignement de Baltzar
  • L’esthétique militaire du 19e siècle
  • Le fait qu’on voit la guerre sous deux points de vue distincts

J’aime moins

  • L’histoire qui ne débute réellement que dans le deuxième volume

La copie de Baltzar – La guerre dans le sang a été prêtée par Anipassion-J.

Baltzar - La guerre dans le sang

Texte, narration et scénario
Graphisme
Impression générale

Captivant

Pour les amateurs d'armes et de stratégie militaire, Baltzar est parfait !

À propos de Jessica Côté Acteau

Mon côté geek est né très tôt. C'est avec Ash, le dresseur de Pokémon et Sakura, la chasseuse de cartes que j'ai grandi. J'étais déjà une grande amatrice de l'animation japonaise et ça m'a suivi de l'enfance à l'âge adulte. Ma passion pour les jeux vidéo a, quant à elle, débuté au même moment. Armée de mon Game Boy Color, j'étais déjà une grande dresseuse de Pokémon, à l'époque ! C'est néanmoins la série The Legend of Zelda qui m'a fait tomber en amour avec le gaming. Depuis, qu'il s'agisse de jeux ou de japanimation, j'en mange tous les jours.

Aussi à voir...

Haruhi-Suzumiya Seiko

La légende japonaise Haruhi Suzumiya reçoit le traitement Seiko

Il faut croire que les marques de luxe ne peuvent plus s’en passer de la …

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

For security, use of Google's reCAPTCHA service is required which is subject to the Google Privacy Policy and Terms of Use.

Ce site utilise Akismet pour réduire le pourriel. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.