Les trois jeux de la série Azul sont sortis respectivement en 2017, 2018 et 2019. Pourquoi vous en parler aujourd’hui ? Parce que je souhaite vous partager mon expérience avec la série Azul. Ma collègue Catherine ayant déjà rédigé un article comparatif de ces trois jeux, je prendrai donc un autre angle pour le mien. Voici les raisons pour lesquelles, selon moi, vous devriez absolument essayer (et peut-être posséder) les trois jeux de la série Azul.
Premier arrêt, Azul (2017)
Lorsque j’ai joué à Azul pour la première fois en 2018, j’avais quand même quelques années d’expérience de joueuse derrière la cravate. Ensuite, j’ai eu l’occasion de l’expliquer à plusieurs personnes de mon entourage et toutes ont eu un coup de coeur pour le jeu, au point de vouloir rejouer ou même de se le procurer. Parmi ces personnes, il y avait des joueurs débutants, intermédiaires et avancés. Azul a vraiment la capacité de plaire à un large public de joueurs de profils différents et d’expérience variée. Pour ceux qui en voudraient un peu plus, Azul a une extension, Crystal Mosaic.
J’aime
- Les mécaniques efficaces
- La grande accessibilité du jeu
- Les tuiles à motifs agréables à manipuler
Deuxième arrêt, Azul : Pavillon d’été (2019)
Environ deux ans après ma première partie d’Azul, ayant maintenant 21 parties à mon actif, j’ai fait l’acquisition de Pavillon d’été, le troisième et dernier tome de la série. Très différent visuellement, plus coloré, avec des étoiles à compléter avec nos tuiles, il me plaisait déjà beaucoup. Il m’a surpris par la profondeur de la réflexion nécessaire pour optimiser le placement de nos tuiles. En effet, les bonus permettant de piger d’autres tuiles doivent être utilisés judicieusement. Cela permet d’effectuer des combos très intéressants !
J’aime
- Le niveau stratégique
- Les combos
- Les tuiles en losange de couleurs vives
Troisième arrêt, Azul : Les Vitraux de Sintra (2018)
Après avoir accumulé 23 parties d’Azul et cinq parties de Pavillon d’été, j’ai fait l’essai d’Azul : Les Vitraux de Sintra, le deuxième titre de la série, le seul qui manquait à ma collection. Différent des deux autres avec son plateau modulable, il m’a tout d’abord sortie de ma zone de confort. Cette fois, un vitrier prend part à la partie et on place immédiatement les tuiles que l’on récupère plutôt que de les placer lors d’une phase subséquente. Ce faisant, les possibilités de se bloquer lors du placement de ses tuiles sont moindres et la partie est donc plus satisfaisante.
J’aime
- Choisir et placer ses tuiles dans la même phase
- Ne pas risquer de se bloquer pour le placement de ses tuiles
- L’apparence des tuiles (bonbons/pierres précieuses)
En conclusion
Si vous possédez déjà un ou deux jeux de la série et que vous vous demandez si un deuxième ou un troisième aurait sa place dans votre bibliothèque ludique, selon moi, la réponse est oui. Je crois que chacun des trois jeux mérite d’être découvert.
Si vous n’en possédez aucun pour l’instant, le réflexe de tenter de trouver le meilleur pour savoir lequel vous procurer est normal. Bien sûr, il est possible que vous ne souhaitiez acheter qu’un seul jeu de la série, pour des questions de budget ou d’espace. Alors, l’article de Catherine vous sera d’un grand secours.
Mais ultimement, ma recommandation est d’essayer les trois, car il s’agit d’excellents jeux avec des mécaniques efficaces et aussi tous très jolis. Si je devais en éliminer un des trois, je ne pourrais choisir, car ils sont tous excellents.
Définitivement, on ne peut avoir trop d’Azul !
Azul | Azul : Les Vitraux de Sintra | Azul : Pavillon d’été | Article comparatif
La copie d’Azul : Les vitraux de Sintra utilisée pour cet article a été fournie par Asmodee Canada.
Mise à jour 5 août 2022 : la série Azul contient maintenant un quatrième titre, dont vous pouvez lire notre critique ici : Azul : Le Jardin de la Reine.