Olympus a frappé l’or avec sa série PEN numérique. Le premier de la gamme, l’Olympus PEN E-P1, a vu le jour en l’an de grâce 2009, alors que Community venait à peine de prendre l’antenne et que Katy Perry se réveillait à Vegas et décidait d’en écrire une chanson. Le PEN E-P1 marquera le départ d’une aventure à succès pour Olympus. Quatre ans plus tard, la nippone lance la quatrième itération de la série, le PEN E-P5.
Pour ce nouvel Opus, les concepteurs d’Olympus se sont inspirés à la fois de l’ancien et du moderne, empruntant autant au Pen F, appareil à film de 1959, qu’au E-P3. Il en résulte une caméra au boîtier tout en métal, au look élégant et délicatement rétro, avec une quantité de contrôles manuels. Mais si le contenant fait un clin d’oeil au passé, le contenu regarde fièrement vers le futur.
Un des points marquants de la fiche technique du E-P5 est le nouvel obturateur mécanique allant jusqu’à 1/8000è de seconde, une première pour les appareils hybrides. Celui-ci permet également une vitesse de synchronisation du flash de 1/320è de seconde.
Ce nouveau PEN embarque plusieurs éléments du populaire OM-D E-M5 : le capteur LiveMOS 16 mégapixels, le processeur d’image TruePic VI, le système d’autofocus FAST AF et le stabilisateur d’image à 5 axes. Et, fidèle à l’ADN de la famille PEN numérique, le E-P5 embarque 12 filtres artistiques avec variations.
Le PEN E-P5 sera disponible vers la fin mai en trois couleurs : noir, argent et blanc ainsi qu’en deux configurations. Le boîtier seul aura un prix de détail suggéré de 999$ et l’ensemble avec objectif mZuiko 17mm 1.8 et viseur électronique VF-4 sera vendu pour 1449$
Voir : Olympus PEN E-P5