Avec des évènements catastrophiques comme celui du Japon, il peut s’avérer dangereux pour les êtres humains d’analyser l’environnement proche des lieux de l’incident.
En surface, les scientifiques peuvent facilement envoyer un robot pour récolter des échantillons et les analyser, mais dans la mer c’est une autre histoire. Oui, il est existe des sous-marins drones, mais le déploiement d’un tel engin est plus difficile que simplement mettre un poisson dans l’eau.
Pour diminuer les risques des missions aquatiques dans un environnement dangereux, le projet SHOAL a mis sur pied des robots poissons capables d’analyser la qualité de l’eau. Complètement imperméable avec un déplacement presque naturel, le poisson SHOAL sera en mesure de renvoyer l’information de manière sans-fil aux scientifiques.
Au prix de 29 000$ le poisson, j’espère qu’il y a un module antiprédateur.
Pour en savoir plus sur le projet, visitez-le www.roboshoal.com