The Witcher l’Ancien Monde – Une excellente transition pour la franchise et un jeu très amusant

Si vous êtes un lecteur régulier de mes articles, vous savez sûrement que j’ai une certaine obsession pour la franchise The Witcher. Que ce soit les romans, les jeux vidéo ou la série télé sur Netflix (à l’exception de Blood Origins qui était très décevant), j’ai plongé très souvent dans cet univers de guerriers mutants, de monstres et de magie. Après une longue attente, j’ai enfin entre mes mains le jeu de société : The Witcher l’Ancien Monde. Ce jeu d’aventure, d’exploration et de combat est non seulement magnifique visuellement, mais il est aussi extrêmement amusant !

  • Créateur : Lukasz Wozniak
  • Éditeur : Go On Board en collaboration avec CD Projekt Red
  • Nombre de joueurs : 1 à 5
  • Durée d’une partie : 90 à 180 minutes
  • Âge recommandé : 14 ans et plus
  • Prix : 97,99$ (édition standard), 199,99$ (édition de luxe)
  • Site officiel
  • Page BoardGameGeek

The Witcher l’Ancien Monde a été rendu possible grâce à une campagne Kickstarter particulièrement réussie, où le créateur a amassé le montant très impressionnant de 6,8 millions d’euros, pour un objectif initial de 250,000$. Les investisseurs ont dû s’armer de patience, car la distribution du produit final a pris un peu plus de deux ans. L’attente en a valu la peine, le jeu est une belle merveille. Il est à noter que la copie du jeu utilisée pour cette critique est celle que j’ai personnellement reçue pour avoir contribué à la campagne, elle aura du contenu qui n’est pas inclus avec la version disponible en magasin. Aussi, je ne couvrirai pas les extensions du jeu, seulement le jeu de base.

Chaque école de sorcelleur dispose de sa forteresse, en plus d'avoir une aptitude qui lui est unique
Chaque sorcelleur débute la partie dans son école. Celui de la célèbre école du loup commence à la légendaire forteresse de Kaer Moren.

À première vue, la boîte du jeu est massive et faite de carton solide. Les illustrations sur cette dernière sont absolument magnifiques et représentent plusieurs éléments de l’univers de The Witcher, comme des images de monstres et de sorcelleurs en pleine action. La planche de jeu est également très bien faite, avec une carte très détaillée du Continent qui contient plusieurs endroits qui seront familiers aux amateurs de la franchise. Des emplacements clairs sont imprimés où seront réunies les différentes piles de cartes qui seront utilisées durant la partie.

Une version de luxe avec de nombreuses figurines magnifiques

L’édition de base du jeu comprend des miniatures représentant les sorcelleurs des cinq écoles : le Chat, l’Ours, le Loup, la Vipère et le Griffon. La version de luxe remplace les jetons de carton représentant les monstres par des miniatures finement détaillées qui donnent au jeu un plus grand attrait visuel, mais qui ne change rien au niveau des règles. Le jeu inclut aussi un nombre impressionnant de cartes qui représentent la base du jeu. Celles-ci sont agrémentées de magnifiques illustrations produites par des artistes de talent.

Ceux qui ont contribué tôt à la campagne Kickstarter ont reçu cette figurine exclusive du chef de la Chasse Sauvage à cheval
Le niveau des détails des figurines est renversant. Cette représentation du chef de la Chasse Sauvage à cheval était exclusive à la campagne Kickstarter.

L’objectif du jeu est d’être le premier joueur à remporter quatre trophées qui apporteront la gloire à votre école de sorcelleurs. Obtenir ces trophées se fait en combattant des monstres ou les autres joueurs, et en méditant. Chaque joueur reçoit une planche représentant son personnage, un emplacement pour la défense et quatre colonnes pour les aptitudes du sorcelleur. Les trois premières, la lutte, la défense et l’alchimie, sont communes à tous les joueurs, alors que la quatrième est une habileté unique à son école.

Chacune des aptitudes débute au niveau un sur la planche du personnage. Il sera possible (et fortement recommandé) d’améliorer ces habiletés en se déplaçant sur différentes destinations sur la planche de jeu, ou en étudiant dans une des écoles de sorcelleurs. Ces améliorations rendront le personnage plus efficace sur le champ de bataille. Lorsqu’un joueur parvient à augmenter ses quatre habiletés au même niveau, son personnage passe au niveau suivant, ce qui lui permettra d’améliorer ses aptitudes encore plus. Le niveau maximal est cinq.

Un nombre d’actions important à chacun des tours

Un tour de jeu se déroule en trois phases : le déplacement, l’exploration/le combat/la méditation et l’acquisition de nouvelles cartes. Chaque joueur débute avec une pile de dix cartes d’action et selon le nombre de joueurs et son rang dans l’ordre de jeu, le nombre de cartes en main variera. Il débute aussi avec un certain nombre de pièces d’or qu’il utilisera pour payer les améliorations à ses aptitudes. Les cartes en main seront nécessaires pour compléter la première phase de son tour.

Il est bon d'investir dans une table aux proportions généreuses pour bien apprécier la partie
Une chose importante est requise pour jouer à The Witcher l’Ancien Monde : avoir beaucoup de place sur votre table !

Durant la phase de déplacement, le joueur peut déplacer son personnage entre deux emplacements sur la planche de jeu. Ceux-ci doivent être liés par une route. Aussi, chaque destination est identifiée comme étant une forêt, une montagne ou un lieu aquatique. Chacune des cartes a également ce type de symbole, ce qui déterminera le coût de chacun des déplacements. Si le joueur utilise une carte avec le même symbole que la destination, il s’y rendra en utilisant seulement cette carte. S’il souhaite se déplacer à un emplacement pour lequel il n’a pas de carte avec le symbole, il peut soit dépenser deux cartes de n’importe quel type de terrain ou une carte et une pièce d’or. La seule limite concernant les déplacements est les cartes que le joueur a en main.

Chacun des emplacements a une forme d’action que le joueur qui s’y rend peut accomplir. Certaines augmenteront une de ses aptitudes gratuitement, d’autres lui permettront de jouer aux dés, ou lui fourniront des pièces d’or et des indices sur les monstres. Compléter ces actions est toujours optionnel. Aussi, la plupart des destinations ont le symbole de deux épées croisées. Cela indique que les duels entre sorcelleurs sont permis à ces endroits. Les écoles de sorcelleurs sont des lieux neutres où leurs affrontements sont interdits.

L’option d’exploration donne un aspect narratif très intéressant

Lorsque le joueur a épuisé toutes ses cartes ou s’il ne peut plus ou ne désire plus se déplacer, il passe à la phase suivante. Il pourra explorer son emplacement, combattre un monstre ou un autre sorcelleur s’il se trouve au même endroit, ou méditer s’il remplit les exigences. S’il choisit d’explorer, il aura le choix entre aller en ville ou arpenter la nature à l’extérieur. Deux piles de cartes représentent ces choix et le joueur prend la carte sur le dessus et la tend au joueur suivant. Ce dernier lira alors une description de son exploration qui se termine toujours par deux choix. Le joueur qui explore choisit une des possibilités et le joueur qui lit la carte l’informe du résultat. Cela pourra être l’acquisition de pièces d’or, l’augmentation ou la diminution d’une aptitude ou l’acquisition d’une quête.

Le nombre impressionnant de cartes événements fera en sorte que vous ferez des découvertes à chaque partie
Les cartes d’exploration (en bas à gauche) sont un des éléments les mieux réussis du jeu. Elles apportent un côté narratif rarement vu dans un jeu de société.

Si la carte indique une quête, le joueur sélectionne un jeton dans la pile d’un des types de région (forêt, montagne, eau). Cela lui indiquera à quel endroit il devra se rendre pour compléter sa missions. Une fois rendu sur place, il prendra la carte qui porte le numéro indiqué dans la quête dans la pile événements. Il est important de toujours garder ces cartes dans leur ordre croissant. Cette carte aura une description de cet événement et le joueur pourra soit faire un nouveau choix entre deux options, recevoir la récompense de la quête sous forme de pièces, de cartes ou d’améliorations de ses habiletés, ou l’acquisition d’un compagnon qui lui donnera des bonus durant les combats ou l’exploration.

Des combats rapides et dynamiques, où les combinaisons sont reines

Parlant de combats, la deuxième option de la seconde phase comprend les affrontements contre des monstres ou un autre sorcelleur. Les monstres sont divisés en trois catégories qui augmentent en puissance en ordre croissant. Au début de la partie, les joueurs pigent trois cartes monstres de niveau un par hasard qui représenteront les trois premières créatures à affronter. Chaque carte est disposée dans la section réservée aux monstres et chacune a un jeton des trois types d’environnements. Les joueurs déposent ensuite le jeton représentant le monstre (ou la figurine pour la version de luxe) sur chacun des emplacements.

Les cartes entrent vraiment en jeu dans les combats alors qu'il est important de faire des combos efficaces
La clé pour remporter les combats est de combiner vos cartes selon leurs couleurs afin d’effectuer des attaques dévastatrices ou augmenter votre défense.

Une fois qu’un joueur arrive sur un emplacement avec un monstre, il a le choix de l’affronter. Le joueur prend alors toutes les cartes de sa pile en plus de celles déjà dans sa main. Le total des cartes représente la vitalité du joueur. Pour le monstre, un autre joueur pige le nombre de cartes du paquet de monstres indiqué sur la carte descriptive de la créature. Cela sera la vitalité du monstre. Ce dernier a également un pouvoir particulier qui devra être activé au moment requis. Le joueur bouge le jeton bouclier au niveau égal à son aptitude de défense. Une fois les cartes rassemblées, le combat peut alors débuter.

Par défaut, le monstre est le premier à attaquer, à moins que le joueur ait visité une destination qui lui aura fourni une piste et complété l’action. Se faisant, il est mieux préparé et ce sera lui qui attaquera le premier. Les combats se font uniquement avec les cartes, aucun dé n’est nécessaire. Les cartes du joueur représentent certaines actions qu’il peut effectuer. Certaines ont un nombre d’attaques, représentées par une griffure, des boucliers représentant la défense ou un nombre de cartes, négatives ou positives.

Bien utiliser ses cartes, la clé pour remporter les combats

Afin de terrasser la bête le plus efficacement possible, le joueur doit effectuer des combos. Chacune des cartes a une certaine couleur attitrée. Le rouge représente majoritairement l’attaque, le vert : la défense et le jaune pour piger des cartes de plus ou moins. Certaines cartes ont un onglet d’une couleur différente. Si le joueur a en main une carte de cette couleur, il pourra alors l’ajouter à sa carte de départ, combinant alors leurs effets. Il peut augmenter le nombre d’attaques, trouver un équilibre entre attaque et défense ou modifier le nombre de cartes à piger. Il peut aussi utiliser une de ses potions (s’il en a) à la place d’une attaque traditionnelle. Pour chaque attaque, le joueur représentant le monstre retire une carte de sa vitalité.

Trois créatures sont en permanence sur le plateau, prêtes à faire d'une bouchée des sorcelleurs
Une féroce wyverne vous attend à Glenmore. Il est important d’être bien préparé avant d’engager le combat.

Lorsque c’est au tour du monstre d’attaquer, le joueur qui le représente choisit quel type d’attaque il fera : foncer ou mordre. Une fois son choix fait, il découvre la première carte du paquet vitalité du monstre et applique le résultat indiqué. Le joueur retire alors dans l’ordre le nombre de boucliers qu’il possède, les cartes de sa pile vitalité et enfin celles dans sa main. D’autres attaques portent des attaques qui varient selon le niveau de la bête ou celui d’une des aptitudes du sorcelleur.

Le combat se poursuit jusqu’à ce qu’une des piles de vitalité soit épuisée. Si le joueur est victorieux, il prend possession de la carte de sa victime en tant que trophée et l’ajoute à sa planche de jeu. Celui-ci lui apportera un certain avantage pour certaines de ses actions futures. Il augmente aussi son jeton dans la colonne des trophées sur la planche de jeu. Il sera alors épuisé, ce qui lui demandera de retirer un certain nombre de cartes de sa pile de façon permanente. En contrepartie, il recevra des pièces d’or et une carte supplémentaire de son choix dans le marché (explication plus tard). Un nouveau monstre d’un niveau supérieur est alors ajouté au plateau pour remplacer la créature vaincue.

Victoire ou défaite dans les combats, la partie continue !

Si, au contraire, c’est le monstre qui remporte la victoire, le joueur est assommé. Il ne remporte pas de trophée, mais reçoit quand même une carte du marché à ajouter à sa pile. Si la vitalité du monstre était d’une carte ou zéro, le joueur est parvenu à faire fuir le monstre. Il reçoit alors une récompense en pièces d’or, la créature est retirée du plateau et remplacée par une autre de même niveau. Si la pile comprenait deux cartes ou plus, le monstre demeure en jeu et pourra être défié à nouveau.

Investir dans la version de luxe du jeu apportera beaucoup à son aspect visuel
Opter pour l’édition de luxe vaut la peine car elle ajoute une figurine pour chacun des monstres à affronter. Celles-ci sont tout simplement magnifiques !

Les combats entre sorcelleur se passent presque de la même façon, chacun des adversaires utilise sa pile comme vitalité. La différence est que les autres joueurs peuvent miser sur le résultat du combat. Aussi, lorsque le combat est terminé, si celui qui a attaqué est victorieux, il remporte le trophée de l’école de son adversaire qui lui donnera un bonus comme c’était le cas pour un combat contre un monstre. Si c’est l’autre joueur qui remporte la victoire, il reçoit un bonus de pièces d’or et une carte supplémentaire, mais il ne remporte pas de trophée. Chaque joueur peut seulement être vaincu une fois.

La dernière action de la deuxième phase est la méditation. Au début de la partie, chaque joueur pige une carte dans la pile aptitudes. Cette carte représentera une des quatre aptitudes de son sorcelleur (lutte, défense, alchimie et spécial). Si le joueur parvient à augmenter son niveau à cinq, il pourra alors choisir de méditer, ce qui lui donne automatiquement un trophée. Cette action ne peut être prise qu’une seule fois par partie. Aussi, pour remporter la partie, le dernier trophée doit être acquis après un combat. Un joueur ne peut gagner avec un trophée remporté par la voie de la méditation.

Des ajouts de cartes apportent un côté construction de paquet au jeu

La troisième phase de jeu est l’acquisition d’une carte. Après la seconde phase, le joueur pige autant de cartes de sa pile vers sa main afin qu’il obtienne un total de trois. Il pourra ensuite choisir une carte à acheter parmi les six dévoilées face par en haut sur la planche de jeu. Chacune a son prix, qui va de 0 à 3. Ce coût est payé non pas avec des pièces d’or, mais avec des cartes de sa main. Il est donc possible d’échanger les trois cartes de sa main contre une carte avec un coût de 3. Le joueur aura alors une seule carte en main pour son prochain tour, limitant le nombre de déplacements possibles. Au contraire, si la carte a un coût de zéro, il l’ajoute directement à sa main. Certaines positions ont une indication +1 ou -1. Le coût de la carte est modifié selon l’indicateur.

Le cheval Roach apparaissant sur le toit d'une grange est une farce qui date de la sortie du jeu The Witcher 3
Après avoir été un « même » pendant de nombreuses années, le cheval Roach sur le toit d’une grange est inclus dans la version Kickstarter du jeu.

Le jeu inclut deux ensembles de six dés à six faces qui seront utilisés pour une seule fonction : jouer au poker. Si le joueur arrive sur une destination qui a l’icône des dés, il peut défier la population locale. Le joueur doit miser une pièce d’or, alors que les locaux en fournissent deux de la banque. Le joueur et son voisin prennent chacun un ensemble de dés et les lancent en même temps. Comme c’est le cas pour une partie de poker traditionnelle, le but est d’essayer d’avoir une meilleure main que son adversaire. Les deux joueurs ont la possibilité de relancer un ou plusieurs de leurs dés une fois pour avoir un meilleur résultat. Une fois les deux lancers complétés, les joueurs comparent leur résultat. Celui qui a la meilleure main remporte alors le pot. Il est aussi possible de défier un autre sorcelleur au poker. Chacun doit alors miser une pièce, la banque en ajoute une, et le vainqueur remporte le pot.

Les règles du jeu peuvent sembler complexes en premier, mais elles s’apprennent rapidement et après seulement quelques tours, les joueurs seront plus à l’aise et les tours s’effectuent plus rapidement. Il est recommandé de visionner une des nombreuses vidéos en ligne qui expliquent les règles pour compléter la lecture du livret d’instructions qui est parfois un peu trop obscur.

Une qualité de construction et de design tout simplement exceptionnelle

La qualité du matériel est tout simplement exceptionnelle. Les différentes planches de jeu sont faites de carton épais et résistant, de même que les différents jetons. Les figurines sont magnifiques et finement détaillés. Chacune a été reproduite en plein mouvement, ce qui leur donne une apparence très dynamique. Malgré que ce soit purement optionnel, il est quand même recommandé d’opter pour la version de luxe qui inclut des figurines pour les monstres. Cela donne au jeu encore plus de saveur et l’aspect visuel en bénéficie grandement. Les nombreuses cartes ont des illustrations magnifiques, faites par des artistes de talent. Un petit bémol, les cartes d’événements utilisent une police de caractères minuscule et peuvent être difficiles à lire.

Une chose est certaine, l'option "Big Box" de la version Kickstarter porte bien son nom!
Bien que cet article ne couvre pas les extensions du jeu, voici ce que ma copie a l’air lorsque tout le matériel est combiné !

Une partie peut durer plus de trois heures, mais l’aspect dynamique fait en sorte qu’elle n’est jamais ennuyante. Le nombre de joueurs idéal est de trois, car cela fera en sorte qu’ils auront tous quelque chose à faire, même si ce n’est pas leur tour. S’il est possible de jouer à quatre ou cinq joueurs, cela rend la partie beaucoup plus longue et risque d’ennuyer les joueurs qui ne peuvent participer au tour en cours. Un joueur incarnera le narrateur ou le monstre, et l’autre peut commencer son tour lorsque le joueur a atteint la phase 3 du sien. Les combats sont rapides et furieux, et compléter des combos rend l’expérience toujours fraîche en ajoutant un certain niveau de hasard.

L’élément le plus intéressant du jeu est celle de l’exploration où le joueur aura à prendre des décisions et qui donne au jeu un aspect narratif et épique. Le nombre de cartes et donc de scénarios possibles est énorme, donc deux parties ne seront jamais identiques. Si la plupart des cartes représentent un événement relativement sérieux, comme un malheureux poursuivi par une foule en colère, d’autres sont plus humoristiques. Chaque dévoilement d’une de ces cartes est un plaisir, que ce soit pour le narrateur ou le joueur.

En conclusion, The Witcher l’Ancien Monde est un jeu magnifique, très bien conçu, avec un système de combat original et dynamique, et un aspect narratif qu’on voit peu souvent dans ce style de jeu. Malgré son prix relativement élevé, il est de mon opinion que le jeu en vaut la peine, que vous soyez amateur de la franchise ou non.

J’aime

  • La qualité exceptionnelle du matériel ;
  • Les illustrations magnifiques ;
  • La partie exploration du jeu ;
  • Le système de combat flexible et rapide ;
  • La finesse du détail des figurines ;
  • Le choix d’utiliser des cartes au lieu des dés.

J’aime moins

  • Les parties peuvent être trop longues, surtout à 4 ou 5 joueurs ;
  • Le manuel d’instruction pas toujours clair ;
  • Le prix élevé de la version de luxe.

La copie de The Witcher l’Ancien Monde utilisée pour cette critique a été achetée par l’auteur. 

The Witcher l'Ancien Monde

Graphisme
Matériel
Thématique
Mécanique
Plaisir

Matériel exceptionnel et du plaisir à l'infini !

The Witcher l'Ancien Monde offre une expérience de jeu incroyable, que l'on soit fan de la franchise ou non.

À propos de Frédéric St-Georges

Je suis un geek assumé et fier de l'être, qui joue régulièrement aux jeux vidéo depuis l'âge de cinq ans, maniaque de séries télé comme Babylon 5, Star Trek Voyager et Game of Thrones. Geekbecois représente pour moi une belle opportunité de partager avec vous mes passions, vous informer et même parfois vous divertir avec un jeu de mots à la qualité douteuse!

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