Donkey Kong Country : Returns HD sera disponible le 16 janvier 2025. Personnellement, je n’avais jamais rejoué à un Donkey Kong Country depuis mes jeunes années. Autrement dit, ce n’est pas un titre vers lequel je me suis tournée depuis la Super Nintendo. C’est donc un réel retour à l’enfance pour moi. Saupoudrée de nostalgie, je me suis donc plongée dans Donkey Kong Country : Returns HD avec grand plaisir, durant le temps des Fêtes afin de vous livrer mon avis juste avant sa sortie imminente !
- Éditeur : Nintendo
- Plateformes disponibles : Nintendo Switch
- Plateforme de test : Nintendo Switch
- Classement : E
- Prix : 79,99 $
- Site officiel du jeu
Une énième version d’un jeu indémodable
Comme je l’ai mentionné plus haut, je ne pourrai pas comparer les versions lors de cette critique puisque je n’ai pas touché à la série Donkey Kong Country depuis la Super Nintendo. Cela n’empêche pas le fait que j’ai adoré les trois titres, à l’époque. Aussi, j’ai un énorme coup de cœur pour Donkey Kong 64 et Diddy Kong Racing. (Nintendo, vous attendez quoi pour nous pondre un superbe remake de ces deux titres ô combien merveilleux ?) Mais bon, pour l’instant, concentrons-nous sur Donkey Kong Country : Returns HD que j’ai eu l’opportunité de tester dans les dernières semaines.
Un mode coopératif, comme à l’ancienne !
Évidemment, le mode coopératif est toujours de la partie. C’est ce qui m’avait tant enthousiasmée lorsque j’étais jeune ! Le fait que je pouvais prendre part à l’aventure avec mes amis, c’était ce qui rendait les sessions de jeu d’autant plus intéressantes ! De plus, il ne nécessite pas de posséder deux copies du jeu puisque nous pouvons y jouer en local, sur le même écran. Bien sûr, c’est également possible de jouer à Donkey Kong Country : Returns HD en solo.
Un portage de la Wii à la 3DS à la Nintendo Switch
Ça fait quand même beaucoup de portages pour un jeu ! De ce que j’ai compris (puisque je n’ai pas joué aux versions précédentes), il s’agit d’un portage du jeu original comportant donc la même histoire ainsi que le même contenu de niveaux. Les changements majeurs ont eu lieu au niveau des mécaniques de jeu qui ont été ajustées. Également, nous avons la possibilité d’acheter des objets nous permettant d’avancer plus aisément dans les niveaux.
Je ne suis pas la plus grande amatrice des jeux de type plateforme 2D. En effet, ceux-ci me rendent généralement impatiente et je trouve souvent la jouabilité très redondante. Toutefois, je n’ai pas pu m’empêcher de vouloir prendre part à l’aventure, certainement en raison du côté nostalgique de la chose. Aussi, j’étais intriguée. En effet, un jeu qui a droit à autant de portages ne pouvait assurément pas être mauvais ! N’est-ce pas ?
Des mécaniques similaires, mais tout de même bien différentes
Lorsque j’étais jeune, je ne trouvais pas spécialement le niveau de difficulté trop ardu. Donkey Kong Country : Returns HD n’est pas spécialement difficile. Les premiers niveaux s’enchaînent rapidement et sans trop de difficulté. Les mécaniques utilisées afin de vaincre les premiers niveaux ne sont pas difficiles à prendre en main. Et plus nous avançons dans le jeu, plus celui-ci nous offre de nouvelles mécaniques et de nouveaux objets utilisables afin d’avancer dans le récit. Également, les tableaux se montrent d’autant plus créatifs et uniques, plus nous avançons. De ce que je me souviens de mes expériences de jeu liées à la Super Nintendo, je pense pouvoir dire sans l’ombre d’un doute que l’expérience demeure très similaire aux jeux originels.
Le niveau de difficulté est tout de même un peu plus élevé que les premières éditions auxquelles nous avons eu droit sur la Super Nintendo. Bien sûr, Donkey Kong Country : Returns HD est adapté aux joueurs non-expérimentés. Les tout-petits pourront aisément prendre part à l’aventure, même si, en avançant dans les niveaux, certains auront peut-être un peu de difficulté à prendre en main les nouvelles mécaniques. Bien sûr, Nintendo a pensé à tout ! Après quelques morts, le jeu vous propose de jouer le niveau à votre place. Je n’ai, personnellement, pas utilisé cette fonctionnalité puisque je suis têtue et que j’aime faire les choses par moi-même. Toutefois, je ne peux pas nier le fait que cette fonctionnalité puisse être une excellente option pour les plus jeunes joueurs ou pour ceux qui en ont tout simplement marre de répéter les mêmes mouvements sans arrêt.
En conclusion
Je me considère comme étant plutôt bonne en ce qui concerne les jeux vidéo. Mais honnêtement, j’ai toujours eu un peu plus de difficulté avec les titres de type plateforme. Je pense que j’ai toujours un peu de difficulté avec la dextérité et la répétition. Il m’est donc arrivé de vouloir arrêter de jouer tant je levais les yeux au ciel à force de répéter un même passage. Je ne suis pas une personne spécialement impatiente, mais lorsque je dois refaire la même chose encore et encore sans parvenir à me débloquer par moi-même, cela me rend particulièrement impatiente. Je suis extrêmement têtue et je ne peux pas m’empêcher de reprendre le niveau jusqu’à ce que je parvienne à le terminer. Bref, malgré mes crises d’impatience, j’ai tout de même adoré l’expérience que m’a procuré Donkey Kong Country : Returns HD.
Donkey Kong Country : Returns HD est une vraie petite pépite pour les joueurs nostalgiques comme moi. Évidemment, si vous avez déjà pris part à l’aventure sur Wii ou sur 3DS, peut-être que vous trouverez cet énième portage ennuyeux. Mais si, comme moi, vous n’y aviez pas touché depuis la Super Nintendo, c’est une belle expérience de reprendre la manette afin de contrôler l’iconique Donkey Kong.
J’aime
- Le côté nostalgique
- Le niveau de difficulté
- La bande sonore dynamique
- Les nouvelles fonctionnalités
- L’assistance que nous offre le jeu lorsque nous mourrons trop souvent
J’aime moins
- Le fait qu’il s’agisse d’un énième portage
La copie de Donkey Kong Country : Returns HD a été fournie par Nintendo.
Donkey Kong Country : Returns HD
Scénario
Graphismes
Bande sonore
Jouabilité
Durée de vie
Nostalgique !
C'est assurément un bon jeu, mais après une énième version d'un même jeu, on ne peut s'empêcher de se demander : pourquoi ?