Superbeasts

Découverte manga : Superbeasts

Superbeasts est un projet plutôt ambitieux ! En effet, le manga a pu voir le jour grâce à une série d’artbooks créés par Toy(e). Dans ces artbooks nous sont imagés de monstrueuses créatures présentées sous la forme de rapports milliaires secrets. Ces rapports sont exposés comme s’ils étaient réels. Comme s’ils avaient toujours été cachés à la population. J’ai trouvé le concept très intéressant et j’étais donc ravie de pouvoir entreprendre cette lecture !

  • Titre original : Yuugai Chouju
  • Dessin : Nykken
  • Scénario : Nykken
  • Éditeur VF : Vega-Dupuis
  • Année : 2024
  • Type : Seinen
  • Genre : Action, Drame, Science-Fiction
  • Nombre de tomes : 1 (en cours)

Superbeasts

Synopsis

Un jour, le brouillard s’est fortement épaissi et une énorme bête à cinq têtes est apparue. De nombreux monstres ont commencé à apparaître et à tout détruire sur leur passage. Pour ne pas se laisser gouverner par ces créatures, une organisation se bat pour protéger l’espèce humaine.

Mon avis

Que c’est beau !

Je vais commencer en parlant des visuels de ce manga. C’est vraiment beau ! Les chymers sont très détaillés et très bien dessinés. Il faut dire que le manga est inspiré d’un artbook. Cela ne pouvait qu’être joli, finalement. Même au niveau des décors en arrière-plan, il y a énormément d’efforts. C’est beau, c’est détaillé et c’est tout simplement magnifique ! En ce qui concerne les scènes où les combats sont au centre de l’action, on ne s’y perd pas, contrairement à plusieurs titres du genre.

Que c’est cliché !

En ce qui concerne le scénario, je n’ai pas pu m’empêcher de lever les yeux au ciel à quelques reprises. Notamment, lorsque nous voyons certains personnages féminins roucoulant autour du personnage principal. Je ne suis pas une grande amatrice de harem, à la base. Bref, l’histoire est tout de même intéressante : nous voyons l’humanité combattre d’horribles monstres afin de survivre tant bien que mal. C’est plutôt cliché, mais c’est tout de même captivant. Assez pour que je sois intriguée concernant la suite des événements. Je ne peux toutefois pas dire qu’il s’agit, pour moi, d’un coup de cœur. Loin de là. Le second volume saurait peut-être me captiver davantage.

«  Tout a commencé par l’apparition d’un monstre aussi grand qu’une montagne en plein cœur de l’île. Après un certain temps à semer le chaos, il a disparu en laissant derrière lui une brume qui noya les terres.  »

Superbeasts

D’autres titres similaires qui pourraient vous plaire…

Sweet Home et Omniscient Reader’s Viewpoint qui sont également des mangas dans lesquels les humains affrontent des monstres pour survivre.

En conclusion

La couverture de Superbeasts est vraiment jolie. Elle nous donne l’impression que nous allons apercevoir d’impressionnantes monstruosités. On s’attend à découvrir un univers empli de tension et d’horreur. Toutefois, du moins, pour ce qui est du premier volume, ce n’était pas du tout ce à quoi je m’attendais. Nous ne croisons qu’un monstre, bien qu’il soit impressionnant. C’est banal. On voit des sorcières qui tentent de sauver l’humanité grâce à leurs habiletés spéciales. C’est d’un cliché ! Mais malgré tout, cela demeure intéressant. Ma plus grande déception concerne le fait qu’un harem semble se développer doucement autour du personnage principal. Et d’habitude, cela n’ajoute absolument rien au récit.

J’aime

  • Le fait que ce manga soit l’adaptation d’un artbook

J’aime moins

  • Le harem en devenir
  • Le fait que l’histoire soit un peu trop basique

La copie du manga Superbeasts a été offerte par La Boîte de Diffusion.

Superbeasts

Texte, narration et scénario
Graphismes
Impression générale

Du réchauffé

L'histoire est intéressante, mais elle demeure classique. C'est du déjà vu.

À propos de Jessica Côté Acteau

Mon côté geek est né très tôt. C'est avec Ash, le dresseur de Pokémon et Sakura, la chasseuse de cartes que j'ai grandi. J'étais déjà une grande amatrice de l'animation japonaise et ça m'a suivi de l'enfance à l'âge adulte. Ma passion pour les jeux vidéo a, quant à elle, débuté au même moment. Armée de mon Game Boy Color, j'étais déjà une grande dresseuse de Pokémon, à l'époque ! C'est néanmoins la série The Legend of Zelda qui m'a fait tomber en amour avec le gaming. Depuis, qu'il s'agisse de jeux ou de japanimation, j'en mange tous les jours.

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