[En 300 mots] Rayman Origins Vita

Je me permets un mini-article de 300 mots sur cette version portable de Rayman, puisque j’ai déjà fait une critique complète que l’on peut retrouver ici.

Rayman Origins était déjà un excellent « plateformeur », très accessible par sa disponibilité sur toutes les consoles de maison, une excellente vente durant Noël et ma foi un contenu du tonnerre. Je crois que Rayman est un excellent jeu d’ouverture pour une console comme la Vita, en donnant du contenu en VRAIE haute définition sur un écran qui rend les couleurs vibrantes.  Évidemment, Rayman intègre aussi le système de cadeau de la Vita par l’entremise de Near, ce qui rend les choses plus intéressantes. On peut donner (et recevoir) des costumes différents et en recevoir, ainsi que des reliques à collectionner. C’est encore une bonne façon de pousser les gens à utiliser les différentes applications de la Vita.

 

Rayman Origins Vita

Bémol

Les changements pour la Vita sont majeurs pour moi, mais Ubisoft ne nous tord pas le bras en nous forçant de les utiliser. Premièrement, le jeu est vraiment plus éloigné, donc on voit les choses venir beaucoup plus tôt. Si on n’aime pas, Ubisoft a eu la courtoisie de laisser un zoom en pinçant l’écran pour ajuster la distance de la caméra. Deuxièmement, tout ce qui est dans une bulle peut être activé par un toucher du doigt, ce qui fait que ceux qui n’auraient pas nécessairement la possibilité de se concentrer (en bus par exemple) pour faire les acrobaties nécessaires et attraper les objets, ont qu’à les toucher du doigt. Ce n’est, encore une fois, qu’optionnel.

Rayman Origins Vita

 

Finalement…

Ça reste le même jeu vraiment amusant, dans un petit emballage Sony. Quelques applications sociales intégrées pour la bonne mesure, avec une touche de rejouabilité ajoutée par le téléchargement de fantômes des autres joueurs en ligne. Si vous ne l’avez pas déjà, cette version est un incontournable parce qu’on peut mettre le jeu en veille et qu’il se reprend rapidement, un excellent jeu pour les transports en commun.

À propos de Jonathan Lemonde

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